Même sans être au top de sa forme dans cette saison 5 de House of Cards, les Underwood maîtrises toujours l’art de la réplique caustique ! Découvrez leurs meilleures citations de la saison. A chaque épisode, cliquez sur l’onglet pour voir la réplique mémorable de l’épisode choisi.
The Underwoods have a always right word and this season 5 of House of Cards, they keep the traditon. Click on the tab of each episode and discover the best quotes of our lovey characters.
Les meilleures répliques de House of Cards saison 5
Frank : I want you to let the world know that if they want to continue to come here for our hospitals, our colleges, our golf courses and God knows what else, they’re going to have to deliver more than my head on the end of a burning stick.
Frank : Je veux que le monde sache que si ils veulent continuer à venir ici pour nos hôpitaux, nos universités, nos terrains de golf et Dieu sait quoi, ils devront faire bien plus que de livrer ma tête sur un piquet.
Tom : About that article I’m sorry. Claire : I hate apologies.
Tom : A propos de cet article. Claire : Je déteste les excuses.
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Claire: No regrets. No matter what.
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Frank : What does that mean? What does that mean, « no matter what »? You think we’re going to lose.
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Claire : No. No.
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Frank : Are we together?
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Claire : Yes, we’re together, no matter what.
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Frank : No, not no matter what. Are we together?
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Claire : We’re together, Francis.
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Frank : Then don’t ever bring up losing in front of me again.
Claire : Pas de regrets. Peu importe ce qui arrive. Frank : Qu’est-ce que cela veut dire ? Qu’est-ce que cela veut « peu importe ce qui arrive » ? Tu penses que nous allons perdre. Claire : Non. Non. Frank : Sommes-nous ensemble ? Claire : Oui, nous sommes ensemble. Peu importe ce qui arrive. Frank : Alors, n’évoques plus jamais que nous allons perdre devant moi.
Leanne : You never get déjà vu? Everybody does. Doug : I don’t. Leanne : Don’t look so worried, Doug. You just felt familiar for a second. It’s over.
Leanne : Vous n’avez jamais eu de déjà vu ? Tout le monde en a. Doug : Pas moi. Leanne : Ne soyez pas si inquiet, Doug. Vous étiez juste lambda pour une seconde. C’est fini.
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Frank : I believe in you, Congressman. Do you wanna know why?
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Alex Romero: Tell me.
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Frank : Because I trust ambition.
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Alex Romero: So this is a straight-up bribe?
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Frank : Oh, no, Congressman. A bribe is something you can refuse.
Frank : J’ai confiance en vous, cher membre du congrès. Voulez-vous savoir pourquoi ? Alex Romero : Dites-moi. Frank : Parce que je crois en l’ambition. Alex Romero : Donc, c’est un pot de vin sans complexe. Frank : Oh, non, cher membre du congrès. Un pot de vin est quelque chose que vous ne pouvez pas refuser.
Frank : You’ve never shown an ounce of courage. You don’t have what it takes for revenge. So someone must have offered you something rather sweet.
Frank : Vous n’avez jamais montrer une once de courage. Vous n’avez pas ce qu’il faut pour la revanche. Donc, quelqu’un a dû vous offrir quelque d’appétissant.
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Claire: We brought this on ourselves. We pushed too hard.
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Frank: We’ve survived.
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Claire: We isolated ourselves, Francis.
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Frank: So what? We both know something the rest of the world refuses to acknowledge. There is no justice, only conquest. And let me tell you, we let them evacuate DC, we are done, Claire. We’ve lost.
Claire : On a fait ça nous même. On a poussé trop fort. Frank : On a survécu. Claire : Nous nous sommes isolés nous-même, Francis. Frank : Et alors ? Nous savons tous les deux que le reste du monde refuse de le reconnaître. Il n’y a pas de justice, seulement la conquête. Et laisse-moi te dire, on les laisse évacuer Washington DC, et nous sommes finis, Claire. Perdus.
Frank : History is earned. You win the day, and then you win the day after, and you do the same thing every day until you’re dead. And you’re remembered not for the winning, but because you never lost.
Frank : L’Histoire se mérite. Vous triomphez un jour, et vous triomphez le jour d’après et vous faites la même chose jusqu’à que vous soyez mort. Et vous ne marquez pas l’histoire pour vos triomphes, mais parce que vous n’avez jamais perdu.
Frank : That’s what I was promised. And now, here I am, President of these United States. You made this bed, America. You voted for me. Are you confused? Are you afraid? Because what you thought you wanted is now here. And there you are, staring back, slack-jawed, bewildered, wondering if this is what you actually asked for. This democracy, your democracy, elected me. And if you think it was hard getting here, you’re beginning to understand what I’m willing to do to stay. I look across at this crowd gathered today and I know that these are not my supporters. I’m looking at people who are waiting, with a smile on their face, for their turn. And the most vicious among them are the ones who are smiling and clapping the hardest. Power is a lot like real estate.
Frank : C’est ce que l’on m’a promis. Et maintenant, me voilà ici, Président de ces Etats-Unis. Vous m’avez offert ce lit, Amérique. Vous avez voté pour moi. Vous êtes confus ? Vous avez peur ? Parce que vous pensiez que ce que vous vouliez est maintenant ici. Et vous voilà, regardant en arrière, bouche bée, perplexe, vous demandant est-ce que c’est vraiment ce que j’avais demandé. Cette démocratie, votre démocratie, m’a élu. Et vous pensez qu’être ici fut difficile, vous commencez à comprendre ce dont je suis capable de faire pour rester. Je regarde au milieu de cette foule aujourd’hui et je sais que ces gens ne sont pas mes partisans. Je regarde les gens qui attendent avec un sourire sur leur visage, pour leur tour. Et les plus vicieux sont ceux parmi eux qui sourient et applaudissent le plus fort. Le pouvoir, c’est quasi comme l’immobilier.
Frank : The dead sleep with their eyes open, my grandfather would say.
Frank : Les morts dorment les yeux ouverts, mon grand-père disait.
Frank : History has a way of looking better than it was. Or perhaps Shakespeare was right. We’re all just madmen leading the blind*.
Frank : L’histoire a une manière de paraître meilleure que ce qu’elle est. Ou peut-être Shakespeare avait raison. Nous sommes tous des hommes fous guidant l’aveugle.
*référence biblique à l’évangile selon Matthieu 15:14 « ce sont des aveugles qui conduisent des aveugles ».
Frank : I have agreed to appear before this committee today because I’m guilty.
Guilty of having spent the last 30 years of my life here in this Congress. In this House. Then as vice president and now as president, trying to do the people’s work. Now, this committee has accused me of a great number of things. You accused me of pay to play. And so I accuse you of exactly the same. I also accuse you of playing politics only when it suits you. You’re all being paid. You’re all serving some master. Each and every one of you, and you know I know that for a fact. You, for example, Congressman Romero and your crusade to take me down, is it for justice? For the good of the nation? Is the truth what you’re really after? Or is it for some personal gain? Perhaps to try to fill the small hole in your soul that you sold off a long time ago?
Romero : Mr. President.
Frank : No, no, no. This is my opening statement, and I will give it in full. I am not done, ladies and gentlemen. You accuse me of breaking the rules, and I tell you, I am playing by the rules. The very rules that you and I all agreed upon. The very rules that you and I all wrote together. So, yes, I’m guilty as hell, but then so are all of you. Yes, the system is corrupt, but you wanted a guardian at the gate like me. And why? Because you know I will do whatever it takes. And you have all enjoyed it, been party to it and benefited by it.
Oh, don’t deny it. You’ve loved it. You don’t actually need me to stand for anything. You just need me to stand. To be the strong man. The man of action. My God, you’re addicted to action and slogans. It doesn’t matter what I say. It doesn’t matter what I do. Just as long as I’m doing something, you’re happy to be along for the ride. And frankly, I don’t blame you. With all the foolishness and indecision in your lives, why not a man like me? I don’t apologize. In the end, I don’t care whether you love me or you hate me, just as long as I win.
Frank : J’ai accepté d’apparaître dans ce comité aujourd’hui parce que je suis coupable. Coupable d’avoir passé les dernières trente années de ma vie dans ce congrès. Dans cette Maison. D’abord en tant que vice président puis maintenant en tant que président, essayant de faire le travail des gens. Maintenant, ce comité m’accuse d’un grand nombre de choses. Vous m’accusez de payer pour jouer. Et alors, je vous accuse de faire de même. Je vous accuse aussi de jouer avec la politique uniquement quand cela vous arrange. Vous êtes tous payés. Vous servez tous le même maître. Chacun d’entre vous, et vous savez que je sais pertinemment. Vous, par exemple, monsieur Romero, membre du congrès, et votre croisade pour me faire tomber, est-ce pour la justice ? Pour le bien de la nation ? Est-ce vraiment la vérité que vous cherchez. Ou est-ce un intérêt personnel ? Peut-être pour remplir le petit trou dans votre âme que vous avez vendu il y a bien longtemps ?
Romero : Monsieur le président.
Frank : Non, non, non. Ceci est ma déclaration ouverte et je vais vous la donner dans son entier. Je n’ai pas fini, mesdames et messieurs. Vous m’accusez de briser les règles et je vous dis, je joue avec les règles. Ces même règles que vous et moi avons accepté ensemble. Ces mêmes règles que vous et moi avons rédigés ensemble. Alors, oui, je suis bien coupable, mais vous aussi par la même occasion. Oui, le système est corrompu, mais vous vouliez un gardien à la porte comme moi. Et pourquoi ? Parce que vous pensez que je ferai tout peu importe le prix. Et vous en avez tous profité, fait la fête grâce à ça et bénéficié de ça. Oh, ne le niez pas. Vous avez adoré. Vous n’avez pas vraiment besoin de moi pour défendre quoi que ce soit. Vous avez juste besoin de moi pour résister. Être l’homme fort. L’homme d’action. Mon dieu, vous êtes accro à l’action et aux slogans. Peu importe ce que je dis. Peu importe ce que je fais. Tant que je fais quelque chose, vous êtes content d’être à mes côtés pour l’aventure. Et franchement, je ne vous en veux pas. Avec toute cette inconscience et indécision dans vos vies, pourquoi pas un homme comme moi ? Je ne me présente pas mes excuses. A la fin, je m’en fiche que vous m’aimez ou me détestiez, tant que je gagne.
Frank : I’ve always told myself that everything I did was for her. But maybe it wasn’t. Maybe I love power more.
Frank : Je me suis toujours dit que tout ce que je faisais je le faisais pour elle. Mais peut-être pas. Peut-être que je préfère plus le pouvoir.
My turn !
« C’est mon tour ! » le mot de la fin pour la saison 5 de House of Cards et celui prononcé par Claire. Les Underwood sont toujours au pouvoir mais c’est madame qui gouverne cette fois-ci. Peut-être que Claire nous parlera davantage face caméra et aura-t-elle des répliques aussi caustiques que son cher époux ?
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