Gary: It’s like what they say: man plans and God laughs.
C’est comme ils disent: les hommes plannifient et Dieu rit
Walter: That is such bullshit.
C’est des conneries.
Gary: Excuse me?
Pardonnez-moi ?
Walter: Never give up control. Live life on your own terms.
Ne jamais perdre le contrôle. Vivre sa vie selon vos propres conditions.
Gary: Yeah, no, I get what you’re saying, but, uh, cancer is cancer.
Ouais, non, je comprends ce que vous êtes entrain de dire, mais, hein, le cancer c’est le cancer.
Walter: To hell with your cancer. I’ve been living with cancer for the better part of a year. Right from the start, it’s a death sentence. That’s what they keep telling me. Well, guess what? Every life comes with a death sentence, so every few months I come in here for my regular scan, knowing full well that one of these times – hell, maybe even today – I’m gonna hear some bad news. But until then, who’s in charge? Me. That’s how I live my life.
Au diable le cancer. J’ai vécu avec un cancer la plus grande partie d’une année. Dès le début, c’était une condamnation à mort. C’est ce qu’ils me disait continuellement. Eh bien, devinez quoi ? Chaque vie s’accompagne d’une condamnation à mort, alors tous les 2/3 mois je viens ici pour mon scanner régulier, sachant très bien un de ces moments – merde, peut-être aujourd’hui- je vais entendre quelques mauvaises nouvelles. Mais, en attendant, qui est le chef ? Moi. C’est comme ça que je vis ma vie.
4.08 « los hermanos »