C’est le 1er mai donc on va dire une journée plus tranquille. J’ai débuté par un débat sur le rapport aux personnages avec Marianne Lévy, auteur d’un roman dans le milieu des séries intitulé La Malédiction de la Zone de Confort et Benoît Lagane, auteur d’un seul en scène sur les séries appelé Le Conteur Cathodique. Après je suis allée parler Jack Ryan avec Carlton Cuse que je croise pour la quatrième fois dans ma vie. Il a aussi répondu à la question d’une journaliste à la table ronde sur la question d’un reboot de Lost : « Je ne veux pas faire le reboot » car pour lui, il a raconté son histoire et il n’a plus rien à raconter sur Lost. Ensuite, j’ai visionné un maximum de séries…

Kiss Me First

Il aura fallu trois ans pour Bryan Elsley pour mettre sur pied cette série est inspirée d’un livre u même nom de Lottie Moggach et elle mélange images de synthèse et réalité. C’est une plongée dans la réalité virtuelle à travers l’animation. J’avoue je m’y attendais pas trop et n’étant pas une adepte de l’animation en série, j’attendais avec impatience les retours à la réalité. Cependant, du point de vue de l’animation, l’esthétique du dessin et des personnages est remarquable. Il y a un vrai travail indéniable.

Royaume-Uni – série 6 x 60 min
avis : ?

Mystery Road

L’image est très belle avec ces paysages arides. Le mystère est bien entretenu sur ces deux adolescents qui ont disparu. Cependant, c’est très lent et ça reste une enquête de police. L’effet petite ville permet de travailler un peu plus les personnages. Disons que depuis que je vais à Séries Mania, l’Australie m’a habitué à des séries plus époustouflantes.

Australie – série 6 x 60 min
avis : ?

Autonomies

Le sujet est très propre à Israël et peut paraître déroutant pour un téléspectateur extérieur. Mais, la question de la jeune enfant qui doit ou non rejoindre ses parents biologiques qu’elle n’a jamais connu ou rester avec ses parents de coeur est un sujet universel. Même si la question de la méthode d’éducation est centrale. Les deux épisodes fonctionnent et laissent sur un cliffhanger assez inquiétant mais la série ne suscite pas l’envie au point d’absolument savoir la suite.

Israël – série 6 x 42 min
avis : ?