Bienvenue dans le Los Angeles de Rachel Sennott ! Dans sa série I LOVE L.A dont elle est créatrice et productrice exécutrice, Rachel Sennott se plaît à raconter l’histoire d’un groupe d’amis ambitieux qui navigue entre la vie et l’amour à Los Angeles. Elle y joue Maia, une jeune attachée de presse dans une agence, qui attend désespérément une promotion de sa boss Alyssa (Leighton Meester). Sa vie bascule le jour où sa copine d’enfance Tallulah (Odessa A’zion), devenue influenceuse à New-York, est de retour à Los Angeles. 

Pourquoi regarder la série I LOVE L.A ?

L’univers de Rachel Sennott ! Cet It girl américaine a débuté avec des sketchs sur les réseaux sociaux avant de se faire connaître les films Shiva Baby et Bottoms. Elle apparaît dans The Idol de HBO et décroche sa propre série avec le même diffuseur. Dans cette œuvre, l’artiste se met à nue et assure plusieurs postes.

Une série sur la Génération Z et pour la Génération Z : À travers ses amis et le personnage de Maia, la série capture les codes, les angoisses et les contradictions d’une génération hyperconnectée, entre quête authenticité et besoin de reconnaissance. 

Une satire piquante de la culture des influenceurs ! La série observe avec humour les travers du monde des influenceurs, des agences de talents et de la quête de visibilité permanente.

Si la première scène, qui est une scène de sexe, m’a beaucoup fait pensé à Girls, la comparaison s’est vite estompée au fil des minutes et des épisodes. Même si on ressent une inspiration de la série de Lena Dunham, I Love L.A semble être un assemblage de différentes séries HBO mais sans trouver sa propre voix.
En effet, la série Rachel Sennott a un côté superficiel et je ne dis pas ça parce que le thème est l’influence. Mais sur cette thématique tout à fait honorable et intéressante, il n’y a aucune analyse profonde. Alors, les personnages sont marrants et ils provoquent des scènes divertissantes mais il manque tous d’épaisseurs. Mais, surtout ils semblent tous déjà vus dans d’autres séries. Par exemple, Leighton Meester qui est super dans la série mais elle joue une Blair Warldorf adulte au final.
Alors, cela donne une série plaisante mais sans reliefs et donc facilement oubliable. En plus, le titre I Love L.A n’est pas justifiée puisque la ville n’est pas plus mise en valeur que ça et la critique est relative. Donc, on ne saura jamais vraiment ce que Rachel Sennott veut raconter de la ville de Los Angeles…

I Love L.A (8×30′) est disponible sur HBO Max !