Et si on déclenchait une troisième guerre mondiale du rire ?

Synopsis : Trois protagonistes : Walter Larson est le ministre américain des Affaires Étrangères. La plupart du temps ivre, Walter s’intéresse beaucoup plus à ses maîtresses qu’à la marche du monde ! Zeke Tilson, surnommé « Z-Pak », est pilote de chasse, basé sur un porte-avion en Mer Rouge tandis qu’Alex Talbot est, lui, fonctionnaire à l’ambassade des États-Unis à Islamabad au Pakistan. Il ne connaît rien au pays où il travaille, au grand dam de Rafiq, son chauffeur et confident malgré lui… Lorsque le général pakistanais tente un coup d’état en s’emparant de l’arme nucléaire, ces trois individus vont se retrouver malgré eux au coeur d’une crise géopolitique majeure dont va dépendre l’avenir du monde. Quand la troisième Guerre Mondiale se profile sur fond de quiproquos délirants et de dialogues absurdes !

Durée : 30 minutes
Episodes : saison 1 =  10 épisodes
Pays : USAChaîne : HBO
Diffusion FR : OCS via Canalsat

Pourquoi regarder The Brink ?

• Le Homeland du rire
• Jack Black et Tim Robbins réunis à l’écran
• rire et fou rire en géopolitique

Mes premières impressions TV : Les critiques américaines parlent d’un « Homeland du rire » et c’est assez juste. Les personnages sont en lien avec des missions politiques étrangères dans des pays bien connus de Carrie Mathison comme le Pakistan par exemple. Mais, le sérieux et le suspens ne font pas foi dans cette série. Loin de tout ça, The Brink s’en moque et joue la carte de l’humour. Un petit air de Veep sauf que dans The Brink ne se concentre pas uniquement sur une seule personne mais plusieurs personnages ayant des liens ensemble plus ou moins définis ou à découvrir.

Quoiqu’il en soit les bonnes blagues fusent et surtout grâce à Jack Black alias Alex Talbot et Tim Robbins alias Walter Larson. Dans le pilote, ils n’interagissent pas encore ensemble mais on peut imaginer des dialogues savoureux à venir. Seul bémol, petite difficulté de s’accrocher aux personnages, la sympathie se gagnera avec le temps, peut-être ? Et le contexte de stratégie politique étrangère est sujet peut-être trop lourd pour susciter de l’humour et on sent que la place pour l’humour est limitée.

Pilote Mitigé
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