En saison 4, Orange is the New Black a retrouvé son charme un peu oublié en saison 3. En effet, ce quatrième opus des aventures des détenues de Litchfield est réussi dans l’ensemble. Des personnages comme Lolly, Freida et Maria se révèlent chacune à leur manière et prennent l’avantage. Piper Chapman est clairement plus le centre de l’histoire sauf dans l’épisode 7 avec cet épisode terrifiant et touchant mettant la jeune femme a rude épreuve… Bonne initiative d’explorer d’autres histoires et de se décentrer de Piper qui devenait un peu trop irritante sur la longueur.
L’affaire du petit meurtre du jardin est le moment détente et drôle de cette quatrième saison. Lolly devient cette folle allié rongée par le crime et persuadée de vivre une conspiration ce qui équivaut à des scènes burlesques. Caputo lui aussi prend un autre chemin, plus moral ? Sans exagérer ! Le directeur de prison s’intéresse au bien-être de ses détenues et n’hésite pas défendre leurs causes. Puis, cette saison 4 a son lot d’émotions avec le destin tragique de Poussey qui perd la vie et un jeune officier Bayley accusé de sa mort. Il y a une ambiguïté sur la responsabilité de ce dernier ce qui rend l’affaire encore plus terrible. Un personnage mythique quitte Licthfield et une autre prend de l’assurance Dayanara va-t-elle oser commettre l’irréparable ?
À Litchfield, on n’a pas sa langue dans sa poche ! Voici les meilleures répliques balancées par vos détenues préférées en saison 4 d’Orange is The New Black.
« Work That Body For Me »
Apprentissage les maths du meurtre !
Freida: Haven’t you ever killed someone before?
Alex: No. Have you?
Freida: That’s personal. But if I had, I’d know better than to waste my time digging one six-foot hole when I could dig six one-foot holes.That’s just murder math.
Freida : Tu n’as jamais tué quelqu’un auparavant ?
Alex : Non, et toi ?
Freida : C’est personnel. Mais si je l’avais fait, j’aurais préféré au lieu de perdre mon temps à creuser un gros trou de six pieds, j’aurais creuser six petits trous. C’est tout simplement des maths du meurtre.
« Power suit »
Comprendre son âme soeur
Cindy : But you got a soul mate somewhere in the world. I promise.
Suzanne : I hope she speaks English.
Cindy : Tu as une âme sœur quelque part dans ce monde. Je te promets.
Suzanne : J’espère qu’elle parle anglais.
« (Don’t) say Anything
De petit soleil à grand soleil !
Red : My papa called me « solnyshko. » It means little sun. But I’ve grown bigger and hotter since then, and he’s dead.
Red : Mon papa m’appelait « solnyshko ». Ça veut dire petit soleil. Mais, j’ai grandi plus imposante et plus flamboyante depuis, et il est mort.
« Doctor Psycho »
La limite entre l’amour et le viol…
Coates: You think I raped you?
Doggett: Yeah. I mean, what else do you call that?
Coates: But I love you. I told you that. And I said it when…when…I said it.
Doggett: So?
Coates: So, that makes it different.
Doggett: But that didn’t feel any different.
Coates : Tu penses que je t’ai violé ?
Doggett : Ouais. Je veux dire, comment tu appelles ça ?
Coates : Mais, je t’aime, je te l’ai dit. Et je l’ai dit quand… quand… Je l’ai dit.
Doggett : Et alors ?
Coates : Alors, ça fait une différence.
Doggett : Mais, je n’ai rien senti de différent.
« We’ll Alaways Have Baltimore »
Le visage angélique de Piper ne fait pas toujours son petit effet…
Piscatella : I’ve had a beard since tenth grade. Two beards, actually. The one on my face, and the one I took to junior prom. Yeah. I like dudes. I will never find you adorable. Keep that in mind.
Piscatella : J’ai une barbe depuis la seconde. Deux barbes en réalité. Celle sur mon visage et celle que j’ai amené au bal de promo. Ouais. J’ai les mecs. Je ne te trouverai jamais adorable. Garde ça en tête.
« Piece of Sh*t »
Piper en leader ?
Piper : I had to protect my people.
Piper : Je devais protéger mes camarades.
« It Sounded Nicer in My Head »
Quand Lolly délire…
Healy: People are after you.
Lolly: Yeah, and they’re not trying to give me hugs.
Healy: Where is the evidence?
Lolly: I don’t need no evidence. My life is my evidence.
Healy : Des gens sont après vous.
Lolly : Ouais, et ils n’essaient pas de me faire des câlins.
Healy : Où es la preuve ?
Lolly : Je n’ai pas besoin de preuve. Ma vie est une preuve.
« Friends in Low Places »
Les regrets après le marquage à vif…
Piper : My parents didn’t teach me to be like this. What I did to Maria… I didn’t feel bad. I didn’t think twice. I just… went too far. I always go too far. I always go too fucking far, and I can’t fucking stop it.
Piper : Mes parents ne m’ont pas éduqué ainsi. Ce que j’ai fait à Maria… Je ne me sentais pas mal. Je n’ai pas réfléchi deux fois. Je suis juste… aller trop loin. Je vais toujours trop loin merde, et je ne peux arrêter ça.
« Turn Table Turn »
Gloria abrège vos souffrances, ma soeur…
Gloria : Listen, if your mind is starting to go, just tell me and I’ll mercy break your neck, so you don’t end up in Psych.
Gloria : Ecoutez-moi, si votre esprit déglingue, dites-le moi et je vous soulagerai en vous brisant le cou, comme ça vous ne finirez pas chez les fous.
« Bunny, skull, Bunny, Skull »
On a tous du Mario en nous…
Hapakuka : Everything I know about plumbing, I learned from playing Mario Brothers.
Hapakuka : Tout ce que je sais en plomberie, je l’ai appris en jouant à Mario Bros.
« People Persons »
Comprendre le milieu carcéral sans y être allé…
Caputo: You’ve never actually been to Litchfield, have you? Have you ever been in any prison.
Linda: It never seemed necessary.
Caputo : Tu n’es jamais allée à Litchfield en fait ? As-tu déjà mis les pieds dans une prison ?
Linda : Ça ne semblait pas nécessaire.
« The Animals »
Le monstre et la ville…
Caputo: Listen to me. This isn’t for someone like you. This place crushes anything good. It’s like a monster that’s grown too big for its stubby little legs, and now it’s stumbling around crushing whole cities. You can’t survive it Bayley.
Bayley: Are you the city or the monster, sir?
Caputo: Neither. Both, I… Even if you’re the city now, one day you’ll be the monster. Working here changes who you are.
Caputo : Ecoutez-moi. Ce n’est pas fait pour vous. Cet endroit détruit tout ce qui est bien. C’est comme un monstre qui est devenu trop gros pour ces petites jambes trapues, et maintenant, il s’effondre écrasant des villes entières. Vous ne pouvez pas survivre ici, Bayley.
Bayley : êtes-vous la ville ou le monstre, Monsieur ?
Caputo : Aucun des deux, je… Même si vous êtes la ville maintenant, un jour vous serez le monstre. Travailler ici change qui vous êtes.
« Toasts can’t Never Be Bread Again »
Un dernier souffle…
Suzanne : I want to know what it feels like to not breathe.
Suzanne : Je veux savoir ce que ça fait de ne pas respirer.
Une saison 5 sans Poussey à suivre sur Netflix !