Ultra connu pour son rôle de Brandon dans Beverly Hills, Jason Priestley est loin de ce personnage qui l’a fait connaître au grand public. Après un passage sulfureux dans la série Call Me Fitz, Jason Priestley revient avec une série policière Private Eyes. Rencontre en tête à tête avec l’acteur ravi de partir pour de nouvelles aventures !
Qu’est-ce qui vous a intéressé dans ce projet : Private Eyes ?
Jason Priestley : « J’ai été impliquée dans ce projet dès le début car je travaillais avec Shawn et Llyod sur Haven (les producteurs de Private Eyes). J’ai fait cinq ou six épisodes de Haven. Quand ma série Call Me Fitz allait se terminer et que Haven allait s’achever. Shawn et Llyod m’ont contacté car ils ont mis une option sur une séries de livres d’un écrivain de Toronto, Gary Joyce. Le premier livre s’appelle The Code. Cette série de livre raconte la vie d’un gars qui était un ancien professionnel de Hockey qui devient un détective privé. J’ai lu le livre. Ils m’ont envoyé les livres et m’ont demandé si je voulais être impliqué dans la série et éventuellement jouer Matt Shade dans la série. J’ai lu les livres, je me suis attaché au personnage et j’aimais l’univers que Gary Joyce a imaginé. Puis, j’aime l’idée du type extérieur essayant de comprendre ce que sa vie sera après sa retraite du hockey. Cet outsider qui arrive dans un nouveau monde, essayant d’être un détective en réutilisant ses compétences qui ont fait de lui un bon athlète dans cette nouvelle carrière. Donc, j’ai uni mes forces avec les producteurs pour développer la série. Cela a pris quelques années à développer la série avant d’obtenir le feu vert d’une chaîne au Canada. Une fois le feu vert, tout s’est passé très rapidement. C’est une expérience intense et très gratifiante. D’être présent du début de l’option sur les livres, à l’écriture en passant par l’aboutissement de la saison 1. On veut en faire davantage car la série était très fun à produire et on a du temps pour faire la série ».
Que devenons savoir sur Matt Shades ou Shadow de son surnom ?
Jason Priestley : « Shadow est quelqu’un qui ne prend pas les choses trop au sérieux. Il aime que les choses arrivent, il n’aime pas prévoir. Il aime y aller avec son instinct. Il aime juste y aller sans trop réfléchir ce qui le rend très fun car il finit toujours par être dépassé par les événements ».
En quoi le fait d’être un professionnel du hockey fait de lui un bon détective ?
Jason Priestley : « En tant que joueur de hockey, Matt pouvait anticiper ce que les autres joueurs allaient faire. C’est ce qui faisait de lui un bon joueur de hockey. En tant que détective, il utilise cette compétence. Il peut déchiffrer les gens et anticiper ce qu’ils vont faire. C’est un véritable avantage pour lui en tant que détective privé ».
Est-ce qu’on vous verra jouer au hockey ?
Jason Priestley : « Non, on l’a pas vu pour le moment. Peut-être à un moment. On est dans ce monde du hockey pendant le premier épisode et on sort de cet univers rapidement. J’adore le hockey mais si on reste dans ce monde du hockey, c’est assez petit et limité. Dans la saison 1, on touche le monde du hockey mais aussi celui du speed dating, celui de la course hippique ».
Vous avez l’habitude de faire de la réalisation, avez-vous réalisé un épisode de la série ?
Jason Priestley : « Non, pas en saison 1 par manque de temps mais si on revient en saison 2 avec plaisir ».
Quand vous êtes à la fois réalisateur et acteur sur une série : comment gérez-vous la chose ? Quel est votre secret ?
Jason Priestley : « Je n’ai pas de secret. C’est assez difficile quand vous êtes acteur et réalisateur en même temps. Vous devez mobiliser les deux parties de votre cerveau en même temps. Vous devez vraiment faire confiance à votre équipe ».
En quoi être acteur vous aide à être un meilleur réalisateur et inversement ?
Jason Priestley : « Je pense que l’un aide l’autre. Plus je passe de temps à être réalisateur fait de moi un meilleur acteur. Plus je passe de temps à joeur, plus cela m’aide dans mes choix de réalisation. Un main surveille l’autre ».
D’après IMDB, vous avez été scénariste pour une série appelée Head Case ?
Jason Priestley : « Quoi ? Oh ! Voici la vérité sur cette série tout était de l’improvisation donc il n’y avait pas de script tout était improvisé. Je ne savais pas que c’était écrit car on a tout improvisé donc on a tout fait sur le moment. J’imagine que je l’ai écrit car tout venait de ma tête » 🙂
L’écriture un nouveau challenge pour vous ?
Jason Priestley : « Peut-être. Ça serait un véritable challenge ».
Jason Priestley quotes in English !
Matt’s great strength as a hockey player that he could anticipated what the other players gonna do.
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